Osaka et Kobe

Dotomburi, haut lieu de la vie nocturne à Osaka. Bien plus calme dans la journée, ce qui n’est pas désagréable.

L’Umeda Sky Building, immeuble emblématique d’Osaka.

Osaka (enfin, une petite partie) depuis le toit de l’Umeda Sky Building.

Pour accéder au toit, un escalator suspendu dans le vide.

Une autre partie d’Osaka.

La croissance de l’immeuble s’est faite autour de l’autoroute qui semble s’y connecter comme une veine.

Un jardin s’étend au pied du Sky Building.

En revenant vers la gare, on traverse un parking couvert noirci de gaz d’échappement. Au milieu de deux voies de circulation, un autel shinto.

Le port d'Osaka.

Osaka compte un des plus grands et plus beaux aquariums au monde.

Dotomburi la nuit. L’excès de lumière rend l’eau d’autant plus noire.

La profusion vertigineuse d’enseignes sur les façades finit par ôter toute notion de taille et d’espace.

Souvent, au Japon, les façades sont des expositions de climatiseurs.

Le soir, Dotomburi est investi de stéréotypes.

Le port de Kobe. La destruction de la ville par le tremblement de terre de 1995 n’a pas dissuadé une reconstruction tout en hauteur.

Le quartier Kita de Kobe, remarquable pour ses demeures occidentales anciennes. Dans la rue, un gosse de dix ans joue remarquablement bien de l’harmonica et les standards de jazz s’écoulent paisiblement entre les arbres et les grillons.

(désolé pour la prise de son terriblement bruitée)